< PreviousMédecine du mouvement – N˚ 13 / août 2022 Informations spécialisées sur la promotion du mouvement et de la santé Le problème du «mode de vie moderne» Dans le monde occidental en particulier, le syndrome métabo- lique pose un problème considérable, car il réunit des risques im- portants pour la santé et coûte cher aux systèmes de santé. D’après les statistiques, les taux de morbidité et de mortalité sont bien plus élevés pour le syndrome métabolique que, par exemple, pour le VIH/sida. Le syndrome métabolique double le risque de mourir des suites d’un infarctus ou d’un AVC. En outre, un patient souffrant du syndrome métabolique a près de cinq fois plus de probabilités de développer un diabète sucré de type 2 s’il n’agit pas activement contre les facteurs de risque. Les infarctus et les AVC sont des événements dont les causes se développent à bas bruit pendant des années. Les symptômes découlant d’un mode de vie malsain apparaissent ainsi de nombreuses années après le comportement qui les a déclenchés. Cela rend souvent la prise de conscience des personnes concernées plus diffi cile, car elles ne se sentent pas malades et ne voient pas, dans la plupart des cas, Apport calorique excessif, malbouffe: une telle alimentation ne peut pas être compensée, même par un entraînement régulier.l’urgence d’opter pour un mode de vie plus sain. Les traitements qui donnent les meilleurs résultats sont ceux qui associent un entraînement physique et un changement d’alimentation. De nombreuses études ont montré que de telles mesures sont plus effi caces que la prise de médicaments. Observation différenciée L’expression «quartette mortel» n’est en réalité pas correcte, car il y a cinq critères qui permettent d’établir un diagnostic. Les insti- tutions internationales se sont mises d’accord sur la défi nition suivante du syndrome métabolique: – une circonférence abdominale de plus de 102 cm chez les hommes ou de plus de 88 cm chez les femmes – un taux de triglycérides d’au moins 150 mg/dl – un taux de HDL* de moins de 40 mg/dl chez les hommes et de moins de 50 mg/dl chez les femmes – une tension artérielle systolique d’au moins 130 mmHg ou diastolique d’au moins 85 mmHg – un taux de glucose à jeun d’au moins 100 mg/dl comme indice de la résistance à l’insuline Les personnes qui remplissent trois de ces cinq critères présentent potentiellement un syndrome métabolique. Surpoids Le lien entre le surpoids (obésité) et la manifestation d’un syn- drome métabolique est avéré. Cela est d’autant plus effrayant que la prévalence (taux de personnes souffrant d’une certaine maladie à un moment donné par rapport au nombre de per- sonnes examinées) du surpoids augmente dans le monde entier. Pour la première fois, les personnes en surpoids sont plus nom- breuses sur la planète que celles en sous-poids. L’analyse de 1700 études démographiques réalisées par 186 pays entre 1975 et 2014 montre que le nombre de personnes obèses a triplé. ANNONCE Mach Dein Studio zum Vorreiter der Medical Fitness – mit dem medizinischen Goldstandard für Bioimpedanzanalyse. Erlebe den Moment der Wahrheit live und vereinbare einen Termin unter: secaTRU.com *Les HDL (high density lipoproteins, ou lipoprotéines de haute densité) captent le cholestérol libre dans le sang et le transportent vers le foie, où il est éliminé.Médecine du mouvement – N˚ 13 / août 2022 Informations spécialisées sur la promotion du mouvement et de la santé La circonférence abdominale et la graisse viscérale sont plus révélatrices que l’IMC. Obésité androïde Plus précisément, c’est l’obésité androïde (c’est-à-dire le surpoids au niveau de l’abdomen) qui est associée au syndrome métabo- lique. La circonférence abdominale est donc un indice important, et pas forcément l’IMC, qui peut également être élevé, comme on le sait, chez les personnes possédant une masse musculaire très développée et un taux de graisse corporelle faible. Les valeurs limites de la circonférence abdominale varient quelque peu selon l’appartenance ethnique: il existe donc des écarts d’un pays à l’autre. Néanmoins, ces valeurs se situent toutes approximativement à 102 cm pour les hommes et à 88 cm pour les femmes. À partir de cette circonférence, on parle d’obé- sité du tronc. Même si l’on ne sait pas encore très bien aujourd’hui lequel des facteurs cités a la plus forte infl uence sur le dévelop- pement du syndrome métabolique, la recherche part du principe que le «ventre typique des buveurs/euses de bière» est le plus déterminant. Débat sur les facteurs héréditaires Le patrimoine génétique de chaque individu comporte des infor- mations pour tous les processus métaboliques. Ces informations varient légèrement d’un individu à l’autre, de sorte que certaines personnes présentent un risque accru de souffrir de troubles mé- taboliques. Pour le syndrome métabolique aussi, des facteurs génétiques sont pris en considération. Dans certains cas, il existe une prédisposition génétique à la résistance à l’insuline, qui est favorisée par une mauvaise hygiène de vie et peut ainsi se mani- fester. Le facteur sur lequel on a le plus prise reste toutefois le mode de vie. D’après l’état actuel des recherches, un changement d’hygiène de vie est le premier choix thérapeutique qui s’impose, et il nécessite une collaboration intersectorielle. Comme indiqué plus haut, les facteurs se conditionnent mutuellement. Ainsi, lorsque la masse graisseuse diminue et que la masse musculaire augmente, les autres paramètres métabo- liques et la tension artérielle s’améliorent généralement aussi. Nos spécialistes de la santé sont ici prédestinés à intégrer un coaching durablement effi cace dans le processus thérapeu- tique. Jusqu’ici, cela ne fonctionne toutefois que rarement. Dans les pages suivantes, nous nous concentrerons sur les approches qui peuvent offrir des solutions. Des emplois solides pour une branche solide La FSCFS lance une nouvelle prestation. Une plate-forme ouverte pour l’emploi, utilisable par les demandeurs/euses et fournisseurs/euses d’emploi de la branche des centres de fi tness et de santé. À trouver sur www.movement-jobs.ch. Tous les membres de la FSCFS ont accès à cette plate-forme gratuitement. Un login spécial permet d’accéder aux données. Les non-membres peuvent également utiliser la plate-forme contre paiement. La plate-forme pour l’emploi de la FSCFS contient notamment des recommandations salariales. Il s’agit là d’un plus pour les employeurs/euses et d’un repère pour les personnes à la re- cherche d’un emploi. Les entreprises formatrices peuvent aus- si publier les places d’apprentissage ouvertes. Un login séparé a été mis au point pour les personnes à la recherche d’un emploi. Ainsi, en postant leur candidature, elles peuvent choisir si celle-ci sera accessible au public ou seulement visible par les employeurs/euses inscrit(e)s. Elles peuvent aussi s’abonner au service Jobmail pour rece- voir les offres d’emploi qui correspondent à leurs critères de recherche, automatiquement et par e-mail. Testez-la! Fédération Suisse des Centres Fitness et de Santé CH-3000 Berne Téléphoner 0848 893 802 www.sfgv.ch E-Mail info@sfgv.ch LA PLATE-FORME N° 1 POUR L’EMPLOI DANS NOTRE BRANCHE! ANNONCEMédecine du mouvement – N˚ 13 / août 2022 Informations spécialisées sur la promotion du mouvement et de la santé La prévalence du syndrome métabolique étant aussi élevée et le nombre d’individus en surpoids ne cessant d’augmenter, on devrait rencontrer un grand nombre de ces personnes dans nos centres de fi tness. Or, elles y sont rares. Par André Tummer Changer durablement de mode de vie est la clé du succès. Tout le monde le sait, mais pourquoi est-ce si diffi cile à mettre en œuvre? Mise en pratique: entraînement axé sur le mode de vieMédecine du mouvement – N˚ 13 / août 2022 Bien que notre branche dispose de possibilités et de solutions prometteuses, tant du point de vue du personnel que des in- frastructures, divers concepts et interventions ont échoué jusqu’ici. Pourquoi? La citation suivante, tirée du magazine allemand «Ärzteblatt», en dit long: «Les études montrent qu’il n’est possible d’améliorer son hygiène de vie en profondeur qu’au moyen d’un entraînement axé sur le mode de vie, et que les efforts ambulatoires ne peuvent avoir qu’un effet très limité dans les conditions budgétaires actuelles.» Autrement dit, un changement de mode de vie est nécessaire, mais il ne peut pas être actionné par les médecins et les théra- peutes, car ceux-ci ne disposent pas des moyens fi nanciers et du temps pour ce faire. Or, il est extrêmement rare que le corps mé- dical envoie directement ses patient(e)s dans les centres de fi tness. Celles et ceux qui osent tout de même mettre un pied dans un centre de fi tness le font de leur propre initiative ou sur recommandation d’autres client(e)s. Vous ne serez donc recommandé/e comme coach de santé que si vous avez déjà coaché avec succès des personnes dans le même cas. L’offre de programmes d’alimentation et d’entraîne- ment prometteurs est si pléthorique que le doute et l’incertitude règnent sur leur succès. Seule une recommandation positive – qui circulera du reste aussi chez les médecins des environs – fera de vous un/e expert/e en vue dans ce domaine. Un autre point qui explique pourquoi peu de personnes en surpoids osent franchir la porte de nos centres est tout simple- ment notre propre attitude. Combien de fois avez-vous entendu dire «Je viendrai quand j’aurai perdu quelques kilos» ou «Je ne suis pas encore assez en forme en ce moment»? Il est évident qu’une personne en fort surpoids doit surmonter un obstacle immense pour oser se rendre dans un centre de fi tness, si elle ne voit au- tour d’elle que des individus minces et en forme – une image qui s’est installée après bien des années de marketing agressif. Peut-être devons-nous là opter pour de nouvelles voies. Le premier entretien de conseil ne pourrait-il pas avoir lieu hors du centre? Un changement de mode de vie inclut bien davantage de choses qu’un simple entraînement. Une relation de confi ance entre le/la coach et son/sa client/e doit s’installer avant même le début de l’entraînement. Mais le plus grand potentiel, à mes yeux, réside dans le coaching lui-même. Vous avez certainement déjà entendu parler des trois questions-clés «WHY?» «WHAT?» et «HOW?» (dans cet ordre), qui sont les garantes d’un coaching réussi. Trop souvent, on se limite cependant à la question «HOW?», c’est-à-dire COM- MENT atteindre l’objectif. Il ne sert cependant à rien de discuter des diverses méthodes et moyens d’entraînement, de l’intensité des exercices ou de concepts d’alimentation pour perdre du poids si les deux premiers points ne sont pas clairement défi nis. «Quiconque veut atteindre de grands objectifs a besoin d’un grand ‹pourquoi›», m’a dit un jour Wolfgang Fasching, l’un des meilleurs cyclistes «extrêmes» du monde. La réponse à la question «WHY?», ou POURQUOI, ne doit pas rester factuelle. Elle doit déclencher une réaction émotionnelle chez le/la client/e. Si elle ne le fait pas, c’est que l’objectif n’est pas assez important. La vraie réponse est généralement très profonde, et il est très rare qu’un/e client/e l’exprime lors du premier entretien. Avez-vous déjà posé la question du pourquoi en discutant des objectifs de votre client/e? Avez-vous vraiment essayé de comprendre ses motivations réelles? En général, celles-ci ne se situent pas à un niveau superfi ciel, car l’ignorance n’est pas le seul motif qui pousse quelqu’un à négliger son hygiène de vie pendant des an- nées, en faisant courir des risques à sa santé. Tout le monde sait que le fast-food, le tabagisme et la sédentarité sont malsains. Il y a des déclencheurs à ce type de comportements, et le coaching sert à les identifi er. Pour la question «WHAT?», ou QUOI, soit celle qui concerne les objectifs, le système S.M.A.R.T. peut s’avérer utile. Les objectifs doivent être Spécifi ques, Mesurables, Attrayants, Réalistes et Temporellement défi nis. Il ne s’agit donc pas de dire «Je veux perdre quelques kilos», mais «D’ici au 31 décembre 2022, je veux réduire mon taux de graisse corporelle de 5 % et ma circonfé- rence abdominale de 5 cm». Restez réaliste, convenez de petits objectifs intermédiaires atteignables et récompensez ces succès d’étape. Cela commence déjà par la régularité de l’entraînement. «Ces quatre prochaines semaines, mettons-nous d’accord sur deux entraînements musculaires hebdomadaires, soit en tout huit séances.» L’atteinte et la validation d’objectifs intermédiaires est ex- trêmement importante pour augmenter le sentiment d’effi cacité personnelle des personnes concernées. Un grand nombre d’entre elles ont déjà tenté à de nombreuses reprises de changer durable- ment leur comportement. Par conséquent, elles sont prépro- grammées pour abandonner dès qu’elles doivent quitter leur Médecine du mouvement – N˚ 13 / août 2022 Informations spécialisées sur la promotion du mouvement et de la santé zone de confort. Une meilleure effi cacité personnelle renforce leur conviction qu’elles parviendront à atteindre les objectifs fi xés. Tout cela n’est pas nouveau, mais en tenez-vous vraiment toujours compte dans votre coaching? Ce n’est qu’une fois que le «pourquoi» et le «quoi» sont défi nis qu’on doit s’intéresser au «comment?», sans quoi l’abandon de l’entraînement est prévisible. Un suivi personnel continu avec des rendez-vous fi xes est indis- pensable au cours des premières semaines ou même des premiers mois. Consacrez le temps nécessaire à votre client/e. Concevez chaque entraînement de sorte qu’il soit varié et qu’il comporte des diffi cultés adaptées à la situation et surmontables. Pensez au fait que l’entraînement axé sur le mode de vie est synonyme d’un changement de comportement à plusieurs niveaux, et ce pour des personnes qui, pour une raison ou une autre, ont généralement perdu le contrôle sur leur comportement en matière d’activité physique, d’alimentation et de gestion du stress. Montrez-leur un véritable intérêt et investissez-vous: trop souvent, la routine quo- tidienne nous rattrape, et la personne concernée en a assez d’en- tendre qu’après deux entraînements, elle devra devenir autonome et «faire appel à nous quand elle aura besoin d’un nouveau pro- gramme». En leur disant cela, il ne faut pas s’étonner si un grand nombre d’entre elles abandonnent. C’est de leur faute, se dira- t-on alors, car les client(e)s sont trop paresseux/euses, ou de la faute des médecins, qui ne nous envoient aucun/e patient/e... Le système des objectifs S.M.A.R.T, connu et effi cace Bibliographie Frey, St., Beer, A.M.: Metabolisches Syndrom. In: MMW-Fortschr. Med Nr. 38/2010 Hemkens, L.G., Grouven, U. Günster, C., Gutschmidt, S., Selke, G.W., Sawicki, P.T.: Diabettologia 2009; 52(9): 1732–44 Herder, Ch.: Metabolisches Syndrom, Infl ammation und Typ-2- Diabetes. In: Der Diabetologe 2019, 15. 286-287 Schäffl er, A. (Hrsg.): Gesundheit heute. Trias Verlag 2014 Schumm-Dreager, P.M., Riemann, J.F.: Das metabolsiche Syndrom. In: Gastroenterologe 2017, 12; 284-285 Weineck, J.: Sportbiologie. Spitta Verlag, 9. Aufl age 2004 Temporelle- ment défi ni RéalisteAttrayantMesurableSpécifi que L’objectif est-il formulé de manière spécifi que ? Les objectifs intermédiaires et l’objectif fi nal sont-ils mesurables? L’objectif est-il attrayant, déclenche-t-il une réaction émotionnelle positive? L’objectif est-il réaliste ? L’objectif est-il temporellement défi ni? Spécifi que Mesurable Attrayant Réaliste Temporellement défi ni ✔ ✔ ✔ ✔ ✔Erfahre hier alles über unseren Kraft-Beweglichkeits-Parkour www.milongroup.com Der Kraft-Beweglichkeits-Parkour ist die Lösung für die anatomischen und physiologischen Anforderungen von heute. KRAFT UND BEWEGLICHKEIT IM WECHSEL DIE KOMBI MACHT’S FIT IN KURZER ZEIT BIS ZU 3 STUNDEN SITZEN » 1 DURCHGANG IN 15 MINUTEN MEHR ALS 3 STUNDEN SITZEN » 2 DURCHGÄNGE IN 30 MINUTEN Muskellängentraining und Kräftigung im Wechsel Standardisiertes Training auf kleinem Raum Vereint die Bedürfnisse der Trainierenden in einem Konzept ANNONCEMédecine du mouvement – N˚ 13 / août 2022 FITWORX: le réseau de centres de fitness Pour une bonne application des outils de la FSCFS Le nombre de membres de la FSCFS qui s’affi lient à Fitness Guide et utilisent ainsi FITWORX ne cesse d’augmenter de mois en mois. Certains de nos membres nous expliquent ici leur décision. « Avec la crise du covid que la branche a subi, je pense qu’il faut que les fi tness se soutiennent davantage entre eux. Grâce à FITWORX, nos membres ont un réél avantage puisqu’il peuvent bénéfi cier d’un accès à plus de 300 centres avec leur abonnement chez nous. En tant qu’indépendant, c’est un avantage indéniable face à la montée en puissance des chaînes. L’application est user friendly et permet de trouver un club partenaire facilement. J’ai aussi pu constater lors de la conclu- sion de certains abonnements que c’était un véritable atout pour nous. Les personnes qui se déplacent régulièrement en Suisse dans le cadre de leur travail ont réellement besoin de ce type de prestation. Plus besoin de suspendre les abonnements pendant les vacances ou pendant des déplacements puisque nos membres peuvent se rendre dans d’autres clubs. Enfi n, cela nous permet aussi d’avoir un retour de la part de nos membres sur leur expérience dans les clubs partenaires et de toujours nous pousser à innover et à apporter des nouveautés au sein de notre club. KEOPS FITNESS Chemin du Martinet 28, 1007 Lausanne Tél : 021 624 24 10 www.keops.ch, info@keops.ch »Case postale 212Rue de la Maladière 842002 NeuchâtelTél. +41 32 717 40 20cpne-as@rpn.chwww.cpne.ch Visitez notre site pour plus d’informations : www.cpne.ch Vous trouverez de plus amples détails dans lesdirectives relatives au règlement d’examen : SFGV-Directives relatives au règlement d’examen SPÉCIALISTE EN PROMOTION DE L’ACTIVITÉ PHYSIQUE ET DE LA SANTÉ (SAPAPS) Avecbrevet fédéral (SAPAPS) Notre école professionnelle le centre de formation professionnelle neuchâtelois CPNE propose depuis 2019 le brevet fédéral de « Spécialiste en promotion de l’activité physique et de la santé ». Cette formation supérieure s’inscrit pleinement dans notre volonté d’offrir la possibilité à nos étudiants de poursuivre un enrichissement professionnel de haut niveau. PUBLIC CIBLE Le brevet fédéral de « Spécialiste en promotion de l’activité physique et de la santé », s’adresse aux personnes travaillant dans le milieu du fitness et de l’activité physique et de la santé et souhaitant approfondir leurs connaissances dans des domaines tels que la science du mouvement, la méthodologie de l’entraînement,mais également dans la gestion et les ressources humaines afin d’obtenir un diplôme supérieur reconnu sur le plan fédéral. CONDITION D’ADMISSION Sont admis à l’examen final les candidats qui : Justifient d’un certificat fédéral de capacité d’assistant(e) en promotion de l’activité physique et de la santé, des examens modulaires requis (attestations d’équivalence) et, conformément à l’article 1.2, d’au moins 3500 heures de pratique professionnelle sur une période allant de 2 ans minimum à 5 ans maximum à compter de la date de l’examen; ou justifient d’un autre certificat fédéral de capacité ou d’une maturité et des examens modulaires requis (attestations d’équivalence), ainsi que d’une expérience professionnelle, conformément à l’article 1.2, d’au moins 5000 heures sur une période allant de 2,5 ans minimum à 5 ans maximum à compter de la date de l’examen. ENSEIGNEMENT Notre réseau d’enseignants se compose de spécialistesdiplômés(Doctorat, master,brevet fédéral) couvrant chaque domaine d’enseignement. De plus, chacun d’entre eux cumule plusieurs années d’expérience et d’expertise dans leurs domaines respectifs. INSCRIVEZ-VOUS! Modules de base : 192 périodes et 4 validations Modules principaux : 104 périodes et 2 validations Modules à choix : (1 à Choix) 324 périodes et 7 validations Modules de révision : (optionnel) 2x10 périodes ANNONCENext >